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Lundi 23 juillet 1 23 /07 /Juil 23:14

000013.jpg J'avais 19 ans et j'avais passé mon monitorat de secourisme et celui de maître-nageur. Je fais de la natation depuis tout petit et cela m'a donné une carrure assez sympa. Je n'ai quasiment pas de poils mais en revanche je remplis parfaitement bien mon maillot!

À l'époque, j'avais eu quelques relations avec des filles mais rien de vraiment sérieux, et pour cet été-là, j'avais été embauché dans une colo de comité d'entreprise très riche pour y travailler comme surveillant de baignade et "assistant sanitaire"; c'était une colo d'ados de 15 à 17 ans. La colo se tenait en Irlande.

Les ados étaient assez nombreux mais plutôt sympa dans l'ensemble. Mon travail était plutôt cool, je me contentais de surveiller la piscine couverte du centre, de faire le gendarme dans les vestiaires et les douches communes des garçons quand cela chahutait trop, et de soigner les petits bobos quand ils se présentaient. J'en profitais évidemment pour mater discrètement leur bite et certains ne se privaient pas pour les exhiber; d'autres en revanche avaient des érections qu'ils tâchaient de planquer sous une serviette ou leurs mains. Cela me faisait doucement rigoler de les voir ainsi mais je n'ai jamais fait d'allusion à cela.

Un jour, j'ai surpris deux ados en train de se masturber mutuellement dans les douches; j'étais très embarrassé. Je ne ressentais pas encore des penchants gays mais voir ces deux jeunes mâles en train de se toucher la queue m'a donné des picotements dans la verge et j'ai même ressenti un début d'érection.

— Dites les mecs! leur dis-je, ce qui les fit sursauter. Je n'ai rien contre le fait que vous vous amusiez mais vous faites cela discrètement s'il vous plaît!

La honte se peignait sur leur visage et ils ne savaient plus où se mettre, ni quoi dire. Pour autant, je ne souhaitais pas les humilier.

— Ok, je bloque l'entrée du vestiaire pendant 10 minutes, le temps que vous vous rinciez mais c'est la dernière fois! Ok? Si je vous reprends à ce petit jeu, je vais être obligé d'en parler à ce connard de directeur. Vu?

— Merci, Svven! me répondirent-ils en choeur.

Je tournais les talons avec un trouble certain dans mon esprit et je repartis vers l'entrée du vestiaire pour y faire une sorte de barrage aux quelques autres ados mâles qui pourraient éventuellement y entrer. Par la suite, chaque fois que je croisais l'un des deux, ils me faisaient un petit sourire de remerciement ou un regard entendu; je ne répondais pas car j'avais trop peur de perdre mon poste.

La dernière semaine de la colo, une grande sortie était organisée mais un des ados - Luc- ne pouvait pas y participer car la veille, il était tombé sur le flanc et avait un grand hématome sur la cuisse qui lui faisait mal et il fallut donc que je reste pour le garder. La colo était déserte, personne à part nous deux. J'étais un peu désappointé car j'avais bien envie de partir en excursion avec le groupe mais bon, c'était le boulot. Je propose à Luc de venir se baigner dans l'après-midi, ce qu'il accepte.

000009.jpg Nous avons la piscine à nous seuls. Nous entrons dans le vestiaire, je me déshabille complètement et je prends mon maillot dans mon casier. Luc lui, reste un instant à me regarder - je devrais dire à me mater!

— Eh! Luc? Ça va?

— Euh oui, excuse-moi, je te regardais...

— J'ai vu, lui répondis je. Tu n'a jamais vu de mec à poil?

— Si, mais j'ai jamais vu de mec épilé.

— Ah c'est cela? Tu sais, je nage en compet; alors tout le monde se rase. Tu remarqueras que je garde quelques poils sur le pubis.

— Mais pourquoi te rases-tu les couilles?

— Parce que c'est plus joli et surtout plus agréable quand une fille te suce, lui dis je en lui faisant un clin d'oeil.

Il commence à se dessaper devant moi et au moment de retirer son caleçon, je m'aperçois que sa queue a forcé. Par politesse, je me retourne. Quand je me retourne, il porte un petit maillot bleu dans lequel on peut distinguer une grosse barre. Il bande comme un âne ce petit con!

— Bon allez! À l'eau!

Je fille sous la douche et 15 secondes plus tard, je suis dans le bassin car sinon je sens que moi aussi mon maillot va devenir trop petit. Il m'y rejoint, nous faisons quelques longueurs puis nous nageons ensemble en parlant de choses et d'autres. L'incident est clos.

Une heure plus tard, nous sortons de l'eau et nous nous dirigeons vers la salle de douche. Je regarde Luc passer devant moi: il est vraiment mignon. Son corps est fin et musclé à la fois. Il a des yeux magnifiques et des dents parfaitement alignées, ce qui lui donne un sourire d'ange. Je tourne le robinet d'arrivée d'eau, je fais glisser mon maillot sur le sol et je libère ma queue lisse. Luc me regarde un peu gêné.

— Bon, soupirais-je. Tu veux que je te laisse?

— Non, mais je suis un peu timide.

— Ok, de toute façon je vais chercher du gel douche.

Je sors de la pièce, nu. Je me dirige vers mon casier, en sort du gel douche et je retourne vers la salle de douche. À mon retour, je trouve Luc nu face à moi. Il a ôté son maillot et sa queue est bien en vue, avec un petit buisson brun au-dessus et des couilles qui semblent bien dures.

— Ben voilà! Tu y arrives. Tu vois c'est pas si compliqué!

— Oui, fait-il en riant.

On discute, on papote. J'observe cependant sa queue: il est circoncis et plutot bien membré pour ses 16 ans. À un moment, il me dit:

— Tu veux pas regarder mon hématome? J'ai l'impression qu'il a grossi.

Je me mets accroupi sur son profil et j'observe sa marque qui en effet s'étend sur toute la cuisse gauche. Je mets une main sur sa fesse pour le faire pivoter, une autre sur son genou et je me plonge dans l'observation de la jambe. Lorsque finalement il pivote vers moi, je m'aperçois que sa queue est completement bandée! Il a une queue de 16/17cm et d'un diamètre énorme pour son âge.

— Eh mec, y'a pas que l'hématome qui grossit!

— Excuse-moi! fit-il. Je sais pas ce qui m'arrive...

De mon côté, la vue de cette queue dressée m'excite. Trois semaines sans tirer un coup, je n'en peux plus, je commence à bander moi aussi.

— Bah! fis-je. Moi aussi je suis excité, alors on va pas jouer les timides entre nous.

J'ai à peine dit cela que sa main est déjà sur ma queue! Il commence à me branler. Je ne sais que faire, alors je ne fais rien. C'est super excitant. Je le regarde dans les yeux, il semble me defier. Puis il se met à genoux, fait passer sa langue sur mon gland et la totalité de ma verge. Je ressens des décharges électriques dans la queue tellement c'est bon. Il me pompe comme un dieu. Ses mains viennent sur mes fesses et un de ses doigts tente de s'introduire en moi. Je repousse sa main mais il insiste et finalement, je sens un doigt me penétrer. C'est un délice total! Cela dure quelques minutes et il continue de me sucer sans s'arrêter.

— Doucement! Je vais jouir, lui dis-je.

000016.jpg Il me regarde, continue de plus belle, tout en me fouillant le cul. Je sens mon plaisir venir, l'orgasme vient. Je veux le repousser pour jouir mais il insiste et je décharge dans sa bouche de grandes giclées de sperme. Il sourit, du sperme au coin de la bouche et m'embrasse torridement. Le goût de mon sperme est là dans sa bouche; cela m'exite encore plus.

— À mon tour, lui fis-je.

Je me mets à genoux et je commence à le sucer; au début maladroitement puis de mieux en mieux. Il souffle:

— Oui... oui... oui...

De sa main, il dirige ma tête sur le long de sa queue; de l'autre il guide ma main vers son cul.

— Enfonce-moi un doigt! Non deux... ALLEZ! hurle-t-il.

Je m'exécute, je sens sur ma langue de petits avant-goût de sperme. Il ne va pas tarder à jouir! J'active le mouvement en lui fouillant le cul avec mes doigts et tout d'un coup, un torrent de sperme épais vient s'écraser sur mon palais. C'est bon, c'est super chaud.

— AAAAhhhh! fait-il.

Je me relève, il branle un peu sa queue, son sperme est encore dans ma bouche. Pour rire, je le lui crache sur le torse.

— Que fais-tu?! dit-il un peu contrarié.

— J'ai pas eu le temps de te lécher convenablement, dis-je.

Et je me penche sur son torse, en prenant soin de tout lécher, sucer et avaler. Il est aux anges!

Par la suite, nous nous sommes rhabillés, embrassés, mais nous n'avons jamais plus recommencé.

Luc... Tu avais déjà eu des mecs avant moi. Tu étais mon premier mec, le premier d'une bonne série. Merci Luc! Tu es un de mes meilleurs souvenirs.

Par ExhiBoys - Publié dans : Histoires Gay
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Commentaires

Une D.P. entre deux couple, quoi de plus agréable, deux en sandwish et le troisième bien enfoncé dans la bouche, puis il m'appuie la tête pour que tout l'organe s'enfonce profondément dans l'arrière bouche, (25cm) puis ressort et rentre à nouveau plusieurs fois de suite, la salive arrive abondante, ça va tout seul, de même j'accompagne les va et viens avec des mouvements du bassin pour bien sentir les deux pénis entre mes sphincters, c'est un vrais délice là aussi, je les sent bien de toute leur longueur, c'est tellement bon ces coups de reins en cadence par mes trois amants pendant plus d'un quart d'heure, avec juste une ou deux sortie pour lubrifier un peut, puis je sent encore gonfler la hampe dans ma bouche et les jets de sperme m'emplir le fond du palais, que du bonheur, je peut garder longtemps l'arôme sur les papilles, sentir doucement le membre perdre de sa raideur, la respiration va mieux, j'ai encore droit à une longue rasade de délicieux nectar d'amour, c'est alors que mes deux chéris m'envoient dans un dernier assaut leur pénis enfoncés jusqu'au bourses, leur tiède semence l'un après l'autre. Ho! comme c'est bon et que sa glisse mieux dans mon intimité je les sent de mieux en mieux, je haleite sous les coups de reins un peut à la hussarde de mes deux amants, ils se retirent, puis j'enlève les deux capuchons et prend à pleine bouche les deux gland qui ruissellent de sperme et l'avale goulument jusqu'à la dernière goute, pour les remercier de m'avoir si bien fait l'amour et à nouveau sentir ces deux glands, qui déjà gonflent à nouveau, ils sont jeune et énergique, je veux les sentir à nouveaux, les deux en moi, ils ne se font pas prier, le troisième s'y introduit à son tour, une fois l'un une fois l'autre,avec du silicon et un gode, je les sent bien cette fois ci, le dong en plus des deux, puis d'un bon coup de rein le troisième me pénètre à son tour, la position n'est pas très confortable, mais j'aime aussi, car c'est un peut innatendu et après plusieurs entrés et sorties avec le gode j'apprécie mieux cette troisième présence, je les implore de venir à nouveau se soulager dans ma bouche, ce qu'ils font en coeur, je suis comblé et peut me livrer au lèchage de chaqun des trois.
Je n'ai jamais eu la rondelle aussi dilatée et pour clore j'ai encore droit à un fist de tous les trois, à deux mains, puis une main et le pénis ensembles qui s'enlassent dans mon intimitée anale, je jouis dans la bouche de l'un d'entre eux, au sommet de mon bonheur.
commentaire n° :1 posté par : anemonerosepanouïe le: 19/05/2010 à 17h56
Voici de bien belles romances de fin d'adolescence, telle qu'on aimerait bien revivre tout les jours, à deux trois ou quatre, sans maladies aucune, avec des amants qui ont toujours envie, le bon cinéma entre amants épanouis. Moi je suis heureux depuis que j'ai découvert le triple coït avec un couple de jeunes amis, qui voulaient réaliser un fantasme vu sur la toile, je me suis offert à leur jeu et j'ai enfin découvert une sensation inouïe d'extase, après une préparation adéquate, le me suis assis sur les deux pénis, le bonheur, puis assis à califourchon et le second qui me pènètre en double à son tour, le plaisir est à son comble, étreint par mes deux chéris, je les aide de mon mieux par des petits mouvements du bassin afin de bien sentir l'action des 2 verges dans mon intimité, les 2 glands qui s'entrecroisaient me firent sanglotter de plaisir, puis je sentis une agréable chaleur m'envahir par jets saccadés, suivit d'un second et filet chaud se répandre entre mes fesses, tout en étreignent l'amant qui me faisait face sans retenue, la pression sur mes sphincters se libéra peut à peut, j'en était tout ému par l'extase que je venais de vivre, mes deux chéris aussi m'embrassèrent longuement,au bout de deux bonnes heure nous avons remis le couvert, j'en avais trop envie, le 69 à trois ne me suffisent pas, ni les deux verges en bouche, et ce fut s'en peine qu'il me prirent à nouveau en sandwisch, avec une larme de silicone, ce qui rend bien agréable le préliminaire. depuis nous le faisons de temps en temps, en septembre en Corse sur une petite crique au bord de la mer, sous les yeux ébahis d'un couple de jeunes hollandais, qui ne se sont pas fait prier pour participer à nos ébats, ils étaient un peut plus membrés je les ais bien aimés aussi, l'un puis les deux en triple coït que je n'avait encore jamais réalisé, quel bonheur cela à t-il été
nous avons profité de leurs présence pendant 5 jours oü j'ai pu pleinement profiter de leurs talents, ainsi que de mon anatomie généreuse 5x20, un soir vers 21h nous avons même pu nous offrir une tournante, nous étions bien une douzaine, ça aussi c'est vraiment bon, j'ai pu me faire tirer et sucer par une dizaine de bonnes verges, à au moins deux ou trois reprises, j'ai même eu droit à un fist.
Cet automne nous nous sommes donnés r.d.v. avec les Flamands au même endroit, ils viendront surement avec d'autres amis, et nous à quatre ou cinq, un petit camping près de Porto Polo au sud ouest à moins de 20 bornes de Sartène, plus au sud, fréquenté en septembre par des L.B.G.T. Le couple qui tiens le lieu, sont aussi des deux bords, ce qui nous a grandement faciliter nos ébats dans un lieu tranquil, fréquenté que par des gays en couples désireux de pratiques alléchantes pleines de tendresse.
commentaire n° :2 posté par : anemonerosepanouïe le: 16/03/2010 à 22h52
Huum tré joli tout t'es texte j'attend vraiment avec impatience la suite de c'est charmente histoir ... allé B'sOuux bo goss
commentaire n° :3 posté par : Maxime le: 22/11/2007 à 16h27
bien sympathique tout cela...j'adore le mec sous la douche et les récits: cela m'excite fortement: bogosse, belle teub...tout pour une bonne sturb !
commentaire n° :4 posté par : Philiparis le: 29/07/2007 à 08h32
Difficile de ne pas se souvenir de son premier...
commentaire n° :5 posté par : Jean le: 24/07/2007 à 01h11
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